Minuit, place Lacarre, si enclavée que cela en fait presque une cour intérieure et un espace étrangement calme au milieu de la fête. Un ciel dégagé qui laisse entrevoir des étoiles malgré les lampadaires. Guk Euskaraz qui arrive assourdi mais juste, joué par une banda de l’autre coté des immeubles, sur la rue poissonnerie. Une petite terrasse déserte qui domine la place, du champagne dans des flutes en verre (incroyable pendant les fêtes), un banc.
« Tu crois qu’il y a deux personnes plus heureuses, à cette seconde précise, sur la terre ? » demande Grazia.
« Assurément non » répond Ganix avant de déposer un baiser doux, long et définitif.
1793-1794, année révolutionnaire | Musée Carnavalet
Il y a 1 jour
2 commentaires:
Ah ah je m'insurge!
Il y a deux personnes plus heureuses ENCORE! Mon amour et moi-même non mais :p...
Et une chose est certaine, je souhaite ce bonheur si particulier, si intense au plus grand nombre. Je sais c'est un peu trop fleur bleue ce que je dis mais tant pis!
Osons les fleurs bleues !
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