Le vendredi soir des fêtes devant le batzoki de la rue des Visitandines, la centaine de personnes qui déguste le
marmitako exprime en euskara ou en français son avis sur la recette :
- Il est riche en thon ce marmitako,
- Oui, mais moi, ce sont les pommes de terre que je préfère, tu peux m’en remettre une louche ?
- Il est bien ce marmitako, il n’y a pas trop de tomate,
- Ni trop de vin blanc, il est parfait,
- Par contre, un tout petit peu plus de piment d’Espelette, ça l’aurait supporté.
Bien serrée sur le banc, avec juste ce qu’il faut de place pour permettre à l’orteil de Damattit de passer la frontière de sa culotte pour s’immiscer dans son intimité, Garoa trouve que ce marmitako est pimenté juste ce qu’il faut.