Deux étalons pottocks se dressent l’un contre l’autre à l’arrière scène sur la pente mouillée.
Deux escargots s’élèvent l’un vers l’autre sous la pluie au premier plan devant le seuil.
Deux tétons, fièrement portés par Petexa, pointent sous l’auvent du cayolar(*) à la limite du champ visuel.
Fermintxo se dit qu’il va devoir, d’ici la fin de l’averse, se dresser deux fois également.
(*) cayolar : cabane de berger sur les estives
1793-1794, année révolutionnaire | Musée Carnavalet
Il y a 19 heures
3 commentaires:
Dans les régions bi-culturelles , il convient de tout traduire et donc de tout redire.
C'est vrai qu'il n'y a rien de tels que des tétons pour dresser en tournant les talons sa queue et sa tête en même temps. (Quelques coups de cravache aussi, pour les amateurs, pour les mater et les mateurs)
Il me semble avoir déjà lu ce conte en effet.
Rien ne t'échappe Martin.
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