« C’est la plaie ces cartes de vœux à des gens que je ne reconnaitrais même pas dans la rue » marmonne Txantxo.
« Et oui, les euskaldunak ont de grandes familles » répond Estitxu en peignoir du fond du canapé.
« Je ne sais jamais quoi écrire. Pas d’inspiration. Pas d’idée. Rien qui ne sorte du stylo ».
« Passe le moi » propose Estitxu.
Le stylo glisse, s’insère, s’immisce, se gangue, se charge puis Estitxu le rend.
Txantxo le sent, le suçote et se met à écrire.
« Des vœux charmants cette année » le félicite la kusina Nerea
2 commentaires:
L'encre va baver :)
ce n'est pas impossible en effet.
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