Chaque jour à marée basse, le retraité de Noirmoutier descend le Goix, entre sable et boue, vers un filet d’eau large d’un mètre environ au fond duquel le flux descendant met à jour des palourdes comme des pépites dans un torrent. Il y ramasse 12 palourdes, jamais plus, de 6 cm, jamais moins. Il laisse les gratteurs remplir leurs seaux par kilo entier, remonte le Goix et rapporte sa pèche chez lui.
La retraitée de Noirmoutier prépare les palourdes farcies, avec échalotes, gros plan, deux jets des bourses du retraité et un hachis de ciboulette.
« Si tu n’avais pas eu ton problème de cholestérol, je n’aurais jamais pensé à remplacer la crème dans la recette » confie-t-elle.
1793-1794, année révolutionnaire | Musée Carnavalet
Il y a 1 jour
8 commentaires:
Personnellement, je préfère les palourdes crues, mais chacun sa recette.
Je résume: le cholestérol peut donc avoir des effets secondaires bénéfiques... La Faculté va devoir se pencher sérieusement sur la question :-)
je ne crois guere a ses effets secondaires benefiques, la creme me manque, les palourdes aussi. Bon appetit
Je croyais que la cuisine chinoise était la meilleure du monde (à égalité avec la française) ?
Aie ! Attention au glutamate, c'est comme toujours, les imitations sont à proscrire :-)
la cuisine thaie plutot d'accord, mais la cuisine chinoise pas vraiment. le flambeau est detenu par la cuisine birmane et la cuisine mongole...
ca me donne faim tout ca
Ne dis pas au retraité de Noirmoutier qu'il y a aussi du chlolestérol dans les palourdes :o)
:O)
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