Ces draps froissés par nos corps insistants et impérieux,
ces draps saturés de l’odeur de nos fièvres,
ces toiles sur lesquelles nous dessinons avec nos liqueurs intimes à la brosse et au pinceau,
allez ! A la machine !
Et on le refait ce lit avec des draps propres et bien repassés.
C’est le milieu ? Pas tout de ton côté. Tire un peu. Je vois tes collines lorsque tu te penches comme cela. Il y a un pli. Oui, je les connais. C’est trop long au pied. Si tu continues, je vais me tendre ...
Il ne sera jamais fini ce lit.
La blancheur de son cul donnait des vertiges
Il y a 1 semaine
3 commentaires:
Ne finissez jamais ce lit! Il doit être froissé à l'infini comme le plaisir d'aimer aimer...
A l'infini, à l'infini, c'est un discours très féminin. Les ressources des pauvres hommes ne sont pas infinies.
Mais si à l'infini. Regardez tout ce que vous avez entre les mains et vous aurez la solution au bout de la langue...
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