Matin primal

Nerea colle son dos contre le ventre de Koldo dans le presque matin du fond du lit. Koldo adosse son bassin sur le séant de Nerea et l'enserre de son bras libre. Les respirations se calent. Nerea et Koldo replongent juste sous la surface de l’endormissement, serrés, rassurés. Les chaleurs des peaux s’unissent, se renforcent et, dans la semi-conscience, la perception des limites corporelles de Nerea et Koldo disparait pour laisser place à une sensation évidente de fusion primale.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Superbe. Exactement ça, pas mieux!
Nathalie.

Anonyme a dit…

Bises