Les guitares jouent des sérénades
Dont les voix se brisent au matin
Non, jamais je n'atteindrai Grenade
Bien que j'en sache le chemin (Ferrat : Federico Garcia Lorca)
70 années plus tard, qui connait encore Franco ? Par contre, on lit toujours Lorca
Aquella noche corrí Cette nuit me vit galoper
el mejor de los caminos, De ma plus belle chevauchée
montado en potra de nácar Sur une pouliche nacrée
sin bridas y sin estribos. Sans bride et sans étriers (Lorca : la femme adultère)
10 commentaires:
Tes histoires de nacre me font rire. Je reviens du musée de la nacre, car j'habite à 15 kms de la capitale mondiale de la nacre ( si ça existe) et j'ai vu des milliers de boutons nacrés.
C'est joli aussi un bouton nacré.
Berthoise : chez toi, j'ai lu ton gout pour les boutons nacrés. C'est dans un coin de ma tête mais je ne vois pas encore comment en faire (t'en faire) quelque chose.
Berthoise : De plus, "bouton nacré" est l'expression qui me fait irrésistiblement penser à "clitoris"
Toi aussi ?
berthoise : ben oui ! toi aussi ? tu ferais donc une collection saphique ?
Hé bien moi aussi j'habite à côté du musée de la nacre, à cinq kms précisément, je ne pense pas qu'il y en ai trente six mille, il doit s'agir du même ?
Lorsque je l'ai visité, je n'avais pas fait le rapprochement avec le clitoris, ça mériterait une nouvelle visite.
@ Nadège : Briques et silex, au coeur du pays de Thelle.
@ Prax, c'est le mot qui est évocateur, pas l'objet.
Oui, je connais très bien!
berthoise : tu ouvres un champ intéressant : le nom qui décrit un objet précis est plus évocateur que l'objet lui même.
(et tout le monde écoute encore paco ibanez)
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