Le nez dans le soleil levant qui entre rose-orangé par les baies vitrées en dessous de Caradoc, Nerea s’étonne : « Mais pourquoi tu sors ? » tandis que, derrière elle, le poisson de Pette ne laisse que son absence au creux de la nasse où elle l’enserrait.
Pette tarde un peu à répondre. Nerea le sent se répandre sur son dos et murmurer dans un souffle « Ne bouge pas ». Les doigts de Pette dessinent avec la nacre déposée.
« 1er avril, un poisson ! »
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4 commentaires:
Après un temps certain de séchage, Nerea se retourne.
« Oh mais il a perdu ses arêtes ton poisson, il ne se tient plus ! »
Agur Jaunak! Aaagur Jaaunak! Cher ami, vous avez amené un petit robot chez moi, et je vous le rends! (Y'a pas de raison!)... Etonnant, quand même, non??! Si vous dites vrai ça me tr... le c..
Il y a de la nacre dans tes trois derniers textes ! Etait-ce un pari ?
:)
gino : une faiblesse lexicale plutôt !
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