« C’est fou tout ce qu’il y a dans un nombril », soupire Periko :
un « Remona avait des nymphes plus petites »,
un « Sabina astiquait plus énergiquement »,
un « Usoa mouillait instantanément »,
et d’autres éléments parcellaires tous conjugués à l’imparfait.
Le coton-tige à la poubelle, Periko se sent bien mieux pour rentrer dans le présent de la chambre où l’attend Betixa.
7 commentaires:
Bai, cela fait un peu
Du passé faisons table rase
mais la fin de la chanson, moins connue, me plait bien :
Combien de nos chairs se repaissent !
Mais si les corbeaux, les vautours,
Un de ces matins disparaissent,
Le soleil brillera toujours !
Je t'avoue que, n'arrivant pas à comprendre à quelle chanson tu faisais référence, je suis allée chercher sur l'ami Google...
L'Internationale pour parler d'un nombril, c'est osé pour ne pas dire "couillu". ^^
Mon passage préféré :
" La raison tonne en son cratère :
C’est l’éruption de la fin. "
toujours beau et salutaire ici
belle nouvelle année :)
"Nous ne sommes rien, soyons tout."
De mémoire.
T'es taggué. Merci de ne pas m'en vouloir.
Sorgina > Comment faire pour aller chez toi?
>>> Berthoise
J'ai égaré ton adresse email.
Écris-moi sur :
sorgina.n@gmail.com et je te donnerai la marche à suivre.
Sorgina : c'était une digression et je suis content si elle est devenue culturelle.
Gondolfo : urte berri on.
Berthoise : "tout" est un joli mot.
Sorgina et Berthoise : les trucs entre filles, il y a des endroits pour cela ;-)
" les trucs entre filles, il y a des endroits pour cela ;-) "
Là, je comprends la digression ! ^^
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