807 bis bis

Vous vous rappelez le principe des 807bis ?
Voici une nouvelle contribution (un peu sage) judicieusement relue par Frank Garrot lui même.

L’amour me rendait beau. Après son départ, je me devais de réagir rapidement afin de me conformer au cliché social du cocu : je me suis rasé la tête.
Me rendre laid est quand même ce que je fais de pire le plus vite.

Sur le tronc, l’oiseau
807 fois son pic
Soupir de l’homme

Dans son message de rupture, elle faisait mention, entre autres, mon extrême pilarité. Ah, ah, ah, la volupté de cette revanche lexicale ! Je sortais de cette histoire le torse hirsute et bombé.

7 commentaires:

Prax a dit…

Il n'est pas impossible que Mlle d'enfer(t) y voit un rebond d'un rebond sur un sien billet

Berthoise a dit…

Ce n'est pas le poil qui fait l'homme, non. Ni le poil qui fait la femme, du reste. Mais, moi, j'aime bien les poils. La "pilarité" de mes amours ne m'a jamais rebutée. Et la mienne n'a jamais effrayé personne. Et puis le poil piège les odeurs et j'aime bien y fourrer mon nez.

madame de K a dit…

ah ah ! ça t'apprendra à choisir des blondes à forte poitrine ! ;-p

Prax a dit…

berthoise : fourrons, fourrons

mme de K : malin cette remarque de même pas blonde ;-)

Berthoise a dit…

Alors là, je m'insurge. Pourquoi tant de haine envers les blondes à forte poitrine ?

Aurélie a dit…

Dans les messages de rupture, on mentionne souvent ce qui nous plaisait le plus au final... C'est un aveu qui vient au poil!

Prax a dit…

berthoise : parce qu'elles gagnent tout le temps ?

aurélie : ah wouais ? on se reproche ce que l'on aimait ? ça se tient.