Frank Garot avait lancé les 807.
Quand on tarde, on arrive après le 807 final.
Là, c'est reparti pour les 807bis, sous forme de triptyques.
Et cruditéetfleurbleue ne laisse pas son tour.
Comment avouer à cette charmante agrégée de lettres modernes rencontrée dans un café littéraire que je me satisfais pleinement d’un livre de chevet n’ayant que 2 pages ?
Ce 807ème tour de langue était vraiment ma limite maximale : son plaisir résidait bien au-delà de la luxation de ma mâchoire.
La satisfaction du dimanche matin lorsque l’acquisition d’une baguette toute chaude se double du plaisir de m’être débarrassé de toutes les piécettes dont la boulangère leste consciencieusement mon porte monnaie au cours de la semaine.
Dans la cave, tout est humide
Il y a 1 semaine
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6 commentaires:
Opération postage à 8h07 réussie.
Confirmé !
Bonne journée
fg : quelle technique !
Je ne suis pas sûre de bien comprendre le concept du 807 (même en ayant lu les liens...)... :-/
(Ce qui ne m'empêche pas d'apprécier ce tryptique!)
aurélie :
(« J'ai compté 807 brins d'herbe, puis je me suis arrêté. La pelouse était vaste encore. » Deux premières phrases du blog d'Eric Chevillard : l'Autofictif )
Frank Garot a proposé de poursuivre les aphorismes avec 807 inclus.
Je comprends mieux, c'est le nombre 807 qui me posait souci. Ca va mieux d'un coup :)
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