Elle va récupérer un hongre, un
peu âgé. Une adoption en quelque sorte. Dehors, il partagera un grand pré avec
les deux chèvres qui entretiennent déjà le terrain. Dans l’écurie dont la
grand-mère n’a plus l’usage, elle a construit un box, plutôt grand. Elle finit
juste de poser le verrou sur la porte lorsqu’elle entend le van arriver.
« Tiens, avant que je n’oublie,
voilà son dossier complet. J’ai fait tous les papiers, tu en es la propriétaire
maintenant. Tu m’aides à le descendre ? Je suis contente qu’il reste chez toi.
- Tu pars vraiment pour si
longtemps ?
- Oui, mon contrat postdoc à
Rutgers est de trois ans. Je ne compte pas revenir très souvent. Peut-être même
ne pas revenir du tout. »
C’est la première rentrée au box,
le premier pansage. « Eh bien ! Tu es dans un drôle d’état ! Tu n’as pas eu
beaucoup de soins pendant le doctorat, dis donc. On va reprendre tout cela. »
Elle commence doucement pour un
premier contact, juste l’étrille en caoutchouc.
« Tu es un peu vieux et tu ne
perds plus vraiment ton poil d’hiver. Il va falloir sortir la tondeuse. »
Les soirées se remplissent. Elle
le rentre et elle le panse. La tondeuse électrique est lourde au bout d’un
moment. Alors, elle fait carré par carré, un peu chaque soir. Avec des carottes
à la fin des séances. Et elle continue les étrilles, les brosses. Il l’accepte
et donne ses pieds sans rechigner. Les carottes aident bien.
Avant hier soir, elle s’en occupe
un peu plus longtemps. Elle l’installe mais elle a une grande envie de faire
pipi qui ne peut plus attendre. Elle se cale dans un coin du box, s’accroupie
et se libère avec satisfaction sur la paille. Elle sent soudain un grand
souffle sur ses fesses, « Mais tu vas me laisser tranquille ! Arrête ! » Mais
il reste. Les naseaux humides contre sa peau nue la font frissonner. Elle
finit, se réajuste. Il vient renifler la paille. « De toute façon, c’est moi
qui nettoie. »
Hier soir, elle attaque le
pansage du ventre. Elle arrive au niveau du fourreau. « Ouah, ce que tu es sale
ici. Elle n’a jamais dû te le nettoyer. » La partie externe du fourreau est
très sombre, avec segma et poils collés. C’est la première fois qu’elle
s’occupe à fond d’un hongre et la première fois qu’elle s’approche d’un
fourreau. Elle commence avec les grandes eaux du jet mais cela n’enlève pas
grand-chose. Avec un peu d’appréhension, elle cale son épaule contre la hanche
du hongre et essaye de détacher les petits amas collés. Cela vient assez bien
finalement. Il ne bronche pas. Elle prend un peu d’assurance, empoigne le
fourreau d’une main et gratte de l’autre. Cela prend du temps, petits morceaux
crasseux après petits morceaux sales. Il ne défouraille pas et ne s’impatiente
pas non plus. Le résultat final est satisfaisant. A part pour ses mains. « Eh
bien, ça sent le mâle. » Une odeur sauvage, agressive et puissante. Et ça ne
part pas, même sous la douche. Ça s’estompe juste un peu avec la grosse couche
de crème pour les mains qu’elle met avant de se coucher.
Ce soir, elle refait le paillage
complet du box avant de le rentrer. Il passe à peine la porte qu’il urine
généreusement sur la paille fraiche. « Ben voyons ! » Tout en pissant, il
défouraille presque complètement. C’est la première fois qu’elle voit son pénis
hors du fourreau, une barre rose clair qui sort d’un étui très sombre. « Eh
oui, ce n’est parce que tu es castré que tu ne vas pas déverger. » Elle regarde
avec attention « Oh non, tu as aussi des croutes de segma collées dessus. »
Elle cale son épaule contre la hanche, attrape le pénis de la main gauche avant
qu’il ne se rétracte et décolle la première petite croute de l’autre main. Il
faut un peu insister mais cela se décolle. Le hongre bouge un peu les sabots
mais elle le calme de sa voix « Allez grand, reste tendu, ça sera plus
confortable pour toi après. » La verge a tendance à glisser. Elle l’enserre un
peu plus fort. Elle décolle une petite croute puis une autre. L’odeur du pénis
hors du fourreau est très forte, très mâle. Penchée comme cela, l’épaule contre
la hanche, elle attrape mal au dos. Elle n’a pas fini mais elle en a assez. Et
elle a envie de faire pipi aussi. Elle se pose dans un coin, baisse son
pantalon et vide bruyamment sa vessie. Il vient de nouveau la renifler, caler
ses naseaux contre ses fesses nues. Elle ne le rabroue pas ; après tout, c’est
son espace. Elle se redresse sans se rajuster. Il vient sentir ses mains, avec
insistance. « Ben oui, grand, c’est toi qui sent fort comme ça. » Il lui
renifle encore les mains. Il déverge toujours. L’odeur est puissamment
suggestive. Elle fait glisser sa main vers sa vulve sans vraiment y réfléchir.
Elle fouille sa toison et le majeur trouve le clito par automatisme. Elle fait
rouler son bouton, le dos bien calé contre le flanc chaud du hongre. Il ne
bouge pas. Juste la tête, au bout d’un moment, qui vient renifler sa main. Le
souffle sur son sexe déclenche tout. Elle éjacule et jouit juste après, le
creux des reins calé contre la bosse du ventre.
« Hé bien mon grand, ton odeur me
met dans un drôle d’état. C’est la première fois que j’éjacule debout. J’ai le
pantalon trempé. » Elle le flatte et lui donne deux carottes. « Demain, je mets
une jupe pour te panser ».