Rebond sur un oubli inventoriel de Coumarine
Haritz détache les boucles, embrasse les lobes,
« deux oreilles » murmure-t-il,
« un cou » le collier disparait tandis que la bouche de Haritz suit la veine jugulaire de Petexa,
les boutons sautent, le chemisier glisse,
« deux épaules » que les paumes massent en épousant les arrondis.
« Et un raton laveur ? » interroge Petexa
Mains en coupe qui accueillent ce que le soutien gorge a libéré,
« deux seins »,
« un ventre doux »,
« un nombril » que l’index de Haritz taquine.
« Et un raton laveur ? » insiste Petexa
Un bouton qui cède, une fermeture qui descend,
« Cinq orteils et cinq orteils » embrassés un par un,
« deux mollets fermes »,
« deux cuisses lisses » palpées à pleines mains.
« Et un raton laveur ! » réclame Petexa
Des dentelles qui abandonnent,
« deux petites fesses dures »
« une raie » que le majeur de Haritz s’amuse à remonter tel un soc,
« une toison » .
« Et le raton laveur ! » explose Petexa en agrippant à pleines mains la tête de Haritz dont la langue l’explore enfin.
La plus belle créature de la soirée
Il y a 2 jours
3 commentaires:
le raton laveur a un masque comme Zorro.
ohhhhhhhhhhh le beau raton laveur!
C'est le principal, je te l'accorde!!(mais il faut que la langue soit à la hauteur...;-))
coumarine : la hauteur de la langue est une vaste sujet de discussion (qu'il convient toujours de relever)
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