Allez, une fois n’est pas coutume, un peu de nombrilisme pour dire que les bloggeurs existent dans la vraie vie.
Impressions au soleil couché de la rencontre foisonnante, mensuelle et d'hier soir des différents courants de blog
- J’ai laissé un message sur le répondeur de l’Atalante pour réserver. T’es fou, on l’écoute jamais !
- Tiens, tu n’es pas tombé de moto ce soir ?
- Mais à quoi ça sert un clavier avec une lettre C qui n’existe pas en euskara ?
- Mais pourquoi tu as mis une couleur de fond pareille ? Ça allait bien avec une photo que je n'ai pas mise.
Canal geek :
- Moi mon mec, il m’a offert un APN pour noël, nananère.
- J’ai fait du httpS sur haut-et-fort, moi monsieur.
Canal larmes :
- Tu ne m’as même pas laissé un commentaire alors que j’ai écrit ça pour toi.
- De toutes façons, je ne voulais pas en faire un de blog moi, c’est lui qui m’a forcé.
- Quand le titre est bon, ce n’est pas vraiment la peine d’écrire autre chose.
- Même en sachant où j’étais, je n’ai rien compris à ton dernier post.
6 commentaires:
L'usage d'armes blanches est peu fréquent.
gros lulu
très gros lulu
Lu.
Très tardivement, j'avoue, mais lu quand même.
Comme d'habitude, je n'ai pas tout bien-bien compris, mais, bon, ça donne tout de même sacvrément envie d'assister au deuxième Carnet bayonnais de 2008 qui devrait nous voir une nouvelle fois réunis... ce soir même q:o)
Ceci dit, très gros lulu pour ta mignature d'ikurrina dans la colonne de droite. On en cause tout à l'heure...
Colonne de gauche, voulais-je dire, excuse. Faut que je sois sacvrément fatigué pour me planter à ce point !
Gros lulu avec beaucoup de retard ! Mais j'ai des excuses en bidon... euh... en béton pour ce retard de lecture.
On se verra en avril peut-être ?
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